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Chers lecteurs, chères lectrices, 

 

Ce blog est un projet pédagogique qui nous a été proposé dans le cadre de notre parcours de Master 1 Neurosciences Multipublic.  

Sa création est encadrée par Muriel Darnaudéry, Julien Bacqué-Cazenave et Mohamed-Lyès Kaci.

 

Ce blog est dédié à la présentation l'article : Prefrontal-Periaqueductal Gray-Projecting Neurons Mediate Context Fear Discrimination, publié dans Neuron en 2018 par l’équipe de Dr Cyril Herry du Neurocentre Magendie du Neurocampus de Bordeaux (Robert R. Rozeske, Daniel Jercog, Nikolaos Karalis, Fabrice Chaudun, Suzana Khoder, Delphine Girard, Nânci Winke, et Cyril Herry, https://doi.org/10.1016/j.neuron.2017.12.044).

 

Cette équipe focalise ses études sur l’identification des caractéristiques fonctionnelles, anatomiques et physiologiques des circuits neuronaux mis en jeu lors de l’acquisition de la peur conditionnée, et les conséquences de cet apprentissage. 

 

C’est précisément le sujet de l’article que vous allez découvrir par le biais de ce blog.

 

À travers de nombreuses expériences comportementales, notamment des conditionnements de type Pavlovien réalisés avec des souris, les chercheurs de cette équipe ont étudié l’implication du cortex préfrontal ventro-médian, ainsi que ses projections, dans la discrimination de la peur contextuelle.

Les co-auteurs

     

 

 A gauche, Marianne Gaubert : Je suis une franco-irlandaise ayant obtenue une Licence Biologie à l’Université Grenoble Alpes. J’ai eu l’opportunité d’effectuer une année Erasmus en Angleterre à « The University of York ». Cette année à l’étranger a confirmé mon attrait pour les Neurosciences et le monde de la recherche en général. Je suis très intéressée par le développement des maladies neurodégénératives à l’échelle moléculaire et cellulaire, notamment la maladie de Huntington. 

A droite, Sara Stanciu : Durant ma troisième année de licence de Psychologie, j’ai effectué un stage en Neurosciences au Neurocentre Magendie. Ce stage m’a permis de connaître de plus près ce domaine qui me fascine par son côté interdisciplinaire mêlant la biologie, la psychologie et l’informatique. Je souhaiterais continuer dans la recherche, plus particulièrement la recherche sur les maladies psychiatriques comme la schizophrénie, la dépression ou les troubles anxieux.